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02 40 00 38 28 : un numéro à retenir

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Les réclamations peuvent aussi se faire en ligne sur le site de la Ville de Saint-Nazaire (saintnazaire.fr), rubrique "Signaler un problème".

Un trou sur le trottoir ? Un dépôt sauvage sur l’espace public ? Une dégradation de mobilier urbain ? Appelez l'Unité d'Intervention Rapide de la Ville ou signaler le en ligne. Du lundi au samedi, ses agents sont là pour assurer la mise en sécurité de ces situations désagréables, voire dangereuses pour les riverains.

02 40 00 38 28 : c'est donc le numéro de la plateforme téléphonique de la GRC (Gestion de la Relation Citoyenne) à appeler pour signaler toute situation inhabituelle observée sur l'espace public. Vous pouvez également le faire directement en ligne. Du petit trou à combler à la mise en sécurité d'une portion de voirie après un accident de la route, en passant par l'enlèvement d'un dépôt sauvage, l'Unité d'Intervention Rapide de la Ville est au quotidien sur le terrain pour que les choses reviennent à la normale le plus rapidement possible. Composée de quatre hommes travaillant en binômes et équipés d'un camion-plateau et d'un véhicule utilitaire, cette unité existe depuis le début de l'année. Son efficacité repose sur son caractère polyvalent, gage de réactivité d'intervention de première instance. Une fois les mises en sécurité effectuées, ses agents passent le relais au(x) service(s) concerné(s), qui achèveront les réparations : voirie, éclairage public, Espaces verts, CARENE, etc. Lorsqu'il s'agit d'un nid de frelons asiatiques, l'unité réalise un diagnostic, puis sollicite une entreprise privée pour l'opération de neutralisation du nid.

Un lundi matin sur le terrain

9h30 : rendez-vous au QG de l'Unité d'Intervention Rapide, rue du Lavoir, pour partir en opération. La plateforme téléphonique de la Gestion de la Relation Citoyenne (GRC) a reçu l'appel d'un promeneur du Bois Joalland signalant des dégradations intervenues durant le week-end aux abords de la piste de bi-cross, sans plus de précisions. Romain et Marc, de service ce lundi matin, se préparent à aller sur place. Dans leur camion, des barrières, des plaques de recouvrement, de la rubalise, des cônes de signalisation, des pelles, des pioches... Bref, tout l'attirail nécessaire pour mettre en sécurité la zone dégradée. « Et s'il manque quelque chose, on a tout ce qu'il faut au dépôt. ».

9h45 : arrivés sur place, les deux agents constatent qu'un agrès et une barrière en bois ont été mis à terre. Une dégradation volontaire, comme cela arrive régulièrement. Pendant que Marc s'attaque à la barrière, Romain commence à déterrer la base de l'agrès : « Là, il y a un pieu qui sort de terre, c'est dangereux pour les promeneurs. Il faut l'enlever ». 

10h : des barrières provisoires ont été posées et l'agrès chargé dans le camion : la mise en sécurité est maintenant terminée. Les deux agents quittent la zone, direction le QG de l'Unité d'Intervention Rapide pour aller effectuer leur compte-rendu à la GRC, qui fera suivre le dossier aux Espaces Verts pour qu'ils viennent remplacer les barrières en bois. « Pour l'agrès, ce sera plus certainement le service des Sports, la GRC v'a s'en occuper ».