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Mémoires de la Traite Négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions

Cérémonie en mémoire de l’abolition de l’esclavage devant la sculpture de Jean-Claude Mayo et devant l’estuaire de la Loire (©Ville de Saint-Nazaire - Martin Launay) - Agrandir l'image, .JPG 336Ko (fenêtre modale)
Cérémonie en mémoire de l’abolition de l’esclavage devant la sculpture de Jean-Claude Mayo et devant l’estuaire de la Loire (©Ville de Saint-Nazaire - Martin Launay)

En référence à la loi du 10 mai 2001 qui reconnaît l'esclavage comme crime contre l'humanité, le 10 mai est la journée officielle de commémoration des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions.

C’est sous la Première République que l’esclavage fut aboli dans les colonies françaises.

Rétabli par le Consulat, il ne fut définitivement aboli que par la Deuxième République, le 27 avril 1848. Forte de sa tradition républicaine, la France a été le premier pays au monde à reconnaître l’esclavage comme crime contre l’humanité et à l’inscrire dans sa loi, votée définitivement le 10 mai 2001.

En référence à la date du vote définitif de la loi, le 10 mai a été déclaré journée officielle de commémoration des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions.

Une cérémonie restreinte en raison du confinement

Le 10 mai 2020, une cérémonie commémorative restreinte s'est tenue devant la sculpture de Jean-Claude Mayo et devant l’estuaire de la Loire qui a vu passer tant de bateaux négriers en présence de : Philippe Grosvalet, président du Département Loire-Atlantique, Audrey Dufeu-Schubert, députée,  David Samzun, maire de Saint-Nazaire et Yannick Vaugrenard, sénateur (de gauche à droite).